Schizophrénie d'un enfant ou d'un adolescent : quelle mutuelle santé choisir pour éviter les restes à charge importants ?

La schizophrénie chez un enfant ou un adolescent soulève rapidement la question de savoir comment financer les soins spécialisés souvent coûteux.

Entre consultations, hospitalisations et thérapies de soutien, les frais non pris en charge par la Sécurité sociale s'accumulent. Une mutuelle familiale spéciale pédopsychiatrie est cruciale pour limiter les restes à charge et offrir un véritable filet de sécurité.

« Mutuelledassurance.net » élabore un guide clair et utile pour bien choisir votre couverture santé après un tel diagnostic.

Schizophrénie chez l'enfant ou l'adolescent : quels soins sont nécessaires et à quel coût ?

La prise en charge de la schizophrénie infantile nécessite divers soins, dont les prix moyens sont estimés à :

• 90 €/consultation d'un pédopsychiatre ou de neuropsychiatre du secteur 2.
• 250 à 600 €/bilan complet (tests psychologiques, analyse des antécédents familiaux, etc.).
• 40 à 80 €/séance de psychothérapie non remboursée.
• 1 000 €/semaine de séjour hospitalier.

Schizophrénie chez l'enfant ou l'adolescent : ce que rembourse la Sécurité sociale pour la prise en charge du mineur et ce qu'elle laisse à votre charge

La schizophrénie d'un enfant ou d'un adolescent est une Affection Longue Durée qui donne droit à une prise en charge à 100 % des actes médicaux inscrits dans la nomenclature de l'Assurance maladie.

Cette couverture semble totale, mais en réalité, elle ne rembourse pas les :

• dépassements d'honoraires des spécialistes.
• frais de confort en cas d'hospitalisation.
• soins alternatifs.
• soins hors des centres médico-psychologiques.
• hébergement, transport, soutien psychologique aux parents ou aux aidants.

Schizophrénie chez l'enfant ou l'adolescent : pourquoi une mutuelle familiale bien ciblée fait la différence ?

La prise en charge de la schizophrénie chez l'enfant ou l'adolescent requiert des soins variés. Ceci nécessite une mutuelle qui rembourse bien les thérapies clés :

• 300 % pour les consultations en pédopsychiatrie et les bilans neuropsychologiques.
• 350 % pour l'hospitalisation en service spécialisé et 50 €/jour pour la chambre individuelle.
• 60 €/séance chez un psychologue libéral et autres séances de thérapies cognitivo-comportementales (TCC), comme l'art-thérapie.
• 100 % pour le transport médical (taxi conventionné, ambulance).
• 400 €/an pour les soins à domicile (infirmier IDEL, aide éducative, etc.).

Schizophrénie chez l'enfant ou l'adolescent : astuces pour choisir sa mutuelle santé après un diagnostic de schizophrénie infantile ou juvénile

Suite au diagnostic d'une schizophrénie chez un enfant ou un adolescent, il est opportun de choisir une mutuelle :

• sans délai de carence. Il est essentiel d'éviter les mutuelles qui prévoient des délais d'attente pour l'activation de garanties comme l'hospitalisation.
• avec un forfait supérieur à 250 €/an pour rembourser les psychologues et les psychomotriciens.

La schizophrénie infantile ou juvénile nécessite des soins longs, coûteux, et mal couverts par la CPAM. Pour éviter que les restes à charge minent le budget familial et entravent l'accès aux soins, il est capital de prévoir une mutuelle avec des garanties bien ciblées.

Comparez dès maintenant les mutuelles aux couvertures efficaces des besoins liés à la schizophrénie infantile.

Schizophrénie chez l'enfant ou l'adolescent : focus sur les aides spécifiques aux patients et à leurs proches

Parmi les aides disponibles en cas de schizophrénie d'un enfant ou d'un adolescent figurent :

• allocation adulte handicapé (AAH) et la prestation de compensation du handicap (PCH).
• service d'accompagnement à la vie sociale (SAVS) accordé par la maison départementale des personnes handicapées.
• allocation journalière de proche aidant (AJPA), les congés de soutien familial ou les aides à la formation des proches aidants.
• services d'assistance administrative, juridique ou psychologique assurés par certaines mutuelles. Ces services incluent l'aide à la constitution du Dossier Médical Partagé (DMP) ou la mise en relation avec des centres médico-psychologiques (CMP), etc.